Pourquoi le libéral ?

 

 

Pourquoi avoir fait le choix d'exercer en Libéral ?

Au cours de mes études supérieures, j’ai souvent ressenti le désir d’évoluer de manière indépendante. Ainsi, je me suis régulièrement intéressée à ce mode d’intervention « le libéral ».

Une fois mon diplôme obtenu, j’ai évolué au sein d’un service social. Seulement, le souci de faire sans cesse preuve d’adaptation et des périodes de remise en question quant au travail social est venu compromettre mon équilibre professionnel.

Ainsi, mon mode d’intervention en tant qu’Assistante Sociale Libérale est la concrétisation de nombreuses années d’expérience.

À présent, j’axe davantage mon accompagnement aux besoins et aux attentes des personnes rencontrées en cohérence avec mes valeurs.

Pourquoi contacter un service social libéral ?

En tant qu’Assistante Sociale Libérale, mon expérience professionnelle me permet de compléter l’offre des services sociaux existants. En parallèle, de soutenir ce secteur en intervenant en renfort auprès d’équipes.

La démarche de rencontrer une Assistante Sociale peut être difficile et celle de se livrer encore plus. L’établissement d’un lien de confiance entre vous et le professionnel a toute son importance dans ce contexte.

Mon approche est confidentielle est personnalisée. En effet, en tant qu’Assistante Sociale Diplômée d’Etat, je suis soumise au secret professionnel.

J’accorde une importance particulière à l’écoute bienveillante et sans jugement dans le but de vous aider à verbaliser vos ressentis et à développer vos propres compétences pour résoudre vos difficultés.

En effet, les personnes en activités professionnelles éprouvent parfois des difficultés pour se tourner vers un service social pour différentes raisons : peur, honte, dévalorisation de se rendre auprès d’un organisme. Ainsi, elles ont tendance à rester seule alors que des solutions sont possibles.

Pourtant, nous sommes tous confrontés à des événements au cours de notre vie qui peuvent provoquer de la peur, de la souffrance, une sensation de mal-être.